Kinésithérapeute de formation je me suis naturellement intéressée aux cicatrices qui avaient laissé des traces indélébiles sur le corps de mes patients.
J’ai d’abord essayé de les atténuer en faisant des « traits tirés » répétés, perpendiculairement à la cicatrice. C’est la technique de Mme Dicke, allemande, qui découvrit les effets d’un massage réflexe appelé Bingdewesthérapie, qu’elle enseigna et décrit dans son livre paru en 1952.
Puis j’étudiais l’acupuncture et appris une technique qui consiste à placer des aiguilles autour de la cicatrice, en choisissant soigneusement la distance.
Puis ce fut la vogue du massage palper-rouler, et là j’apprenais à décoller les cicatrices des tissus plus profonds.
Toutes ces techniques donnaient certains résultats.
Il y a 22 ans je rencontrais les Elixirs de Fleurs sur mon chemin. J’entendis Philippe Deroide nous parler de la crème à la brunelle qui travaillait nous seulement sur le corps physique mais également dans le corps d’énergie éthérique. Je la faisais essayer et retrouvais des gens ravis des résultats !
Actuellement la crème à la brunelle se trouve sous le nom d’échinaflor chez DEVA. Il y a été rajouté pour une meilleure synergie de l’élixir d’angélique, d’arnica, et d’échinacée. Le tout fabriqué sur une base de plante fraiche d’échinacée.
Un jour, un de mes patients me signala que sa femme lui l’avait prise et qu’elle la mettait comme crème de jour. Lorsque quelques jours après une consultante approchant les 75 ans me consultait, je fus frappé de son aspect. Grande, élégamment habillée, son visage contrastait avec l’ensemble de sa personne. Que de rides !!! avec des sillons profonds et gonflement autour pour bien les souligner. Un vrai aspect de pomme reinette flétrie !
Je lui conseillais cette crème. Enchantée du résultat, elle me dit plus tard : “j’ai vu la différence en 3 jours !”.
Dans de tels cas, l’effet peut s’expliquer par son effet drainant de certains liquides du corps.
En faisant ressortir les sillons, cela m’avait rappelé les cicatrices.
Depuis cette période, j’eu le plaisir de recommencer plusieurs fois l’expérience avec le même succès.
Irène COGNET